Transcript de la conclusion de l’épisode
Alexis Mais maintenant, c’est à toi Sarah. Yes ?
Sara Alors, il y avait une question de départ qui était un peu l’agilité essentielle au service de nos sujets numériques essentiels. Je pense que c’est un peu là-dessus que je vais m’attarder et ne pas refaire toute l’histoire en conclusion. Voilà, ce que je retiens, mais en tout cas des échanges qu’il y a eu là, c’est le fait que l’agilité est à la fois avoir un toile de fond comme quelque chose qui suit les évolutions sociétales et en fait, en ça, qui peut soutenir en fait ce moment où, face aux limites planétaires,
Sara lLa société prend de plus en plus acte et mise en action sur ces sujets et que ça accompagne aussi quelque part et que sur le temps long ça crée de la rupture. Donc ça me donne de l’espoir quelque part de voir que sous ces deux prismes de l’agilité finalement ça peut être un vrai support pour ce changement qu’on doit opérer fort aujourd’hui.
J’ai bien aimé aussi un autre terme, cette vision à la fois issue de la robustesse, de créer de la stabilité sur le court terme et de la viabilité sur le long terme et au fond c’est exactement ça qu’on vit aujourd’hui et qu’on doit aussi de plus en plus démultiplier aujourd’hui cette viabilité long terme et en même temps arriver dans tout ce mouvement de créer de la stabilité pour pas que les entreprises soient non plus tellement dévarier, c’est un mot du Sud ça, mais en tout cas qu’elle perde la tête. Ensuite, là, toutes les conversations finalement finales qui ramenaient sur les modèles de valeurs, enfin le fait que l’agilité au départ est plutôt agnostique, qu’elle n’impose pas un modèle de valeur spécifique, mais qu’aujourd’hui, face à ces nouveaux types de valeurs qui naissent autour de tout ce qui est social et écologique, qu’il y a un vrai sens à les intégrer dans la réflexion,
Sara Et notamment, ça c’est aussi quelque chose qu’on a essayé d’expérimenter chez OCTO, dès le début du lancement de l’équipe dans la partie où on pose la vision d’être en capacité à intégrer ces notions d’impact, excuse-nous Christian, mais en tout cas d’externalité sociale, environnementale, qui incluent nécessairement effectivement cette réflexion de fond by design, au démarrage, dès qu’on se lance sur un projet. Et puis après, il y a tout le sujet, effectivement. C’est vrai que c’est souvent venu dans nos podcasts précédemment quelque part de l’empowerment qui est nécessaire de l’individu pour faire bouger effectivement les systèmes et parfois une impression que si plus haut, ça ne bouge pas, ça ne bougera pas. En fait, là, il y a de nouveau dans vos messages le fait que dans ces logiques d’auto-organisation, de redonner des capacités de décision, de discussion, de faire de la conversation au sein des entreprises, entre les différentes parties prenantes internes à l’entreprise et les externes qui est que de recréer de la zone finalement de discussion, d’arbitrage, de décision dans ces interstices, ça redonne du pouvoir aux individus et donc ça redonne du pouvoir quelque part pour faire bouger le système sur ces sujets. Et puis j’ai bien aimé la Karmapolice et finalement le fait de se donner comme OKR dans une organisation aussi ou dans une équipe,
Claude Merci beaucoup.
Sara ce notion d’usage, de carrière sociale, de colère écolo, qui va aussi, si on s’est posé des éléments de vision, posons-nous jusqu’au bout un dispositif qui permet d’insuffler ça dans les projets, dans les produits et qui vont aussi progressivement instiller des changements de fonds, je l’espère. Et puis il y a eu tout ce final sur effectivement la notion d’équipe versus entreprise. Je l’ai déjà un petit peu évoqué à travers ces conversations qui se nouent. Et j’aime bien aussi cette notion qui vient aussi, je reviens sur l’empowerment, etc. Et je crois que c’est toi Laurent qui l’a évoqué, les questions de stratégie émergentes qui s’imposent au niveau de l’entreprise et qui viennent aussi des individus et qui renforcent ce que l’entreprise propose. Voilà en gros ce que je retiens en lien avec nos sujets.
Alexis Merci beaucoup Sarah. Un petit mot de conclusion, ce coup-ci c’est 10 secondes. Un petit mot de conclusion Laurent, Claude ?
Claude Je commence, donc dix secondes, ça va être juste, mais l’agilité, la racine, c’est l’action. L’agilité, c’est une invitation à agir. Si les choses viennent d’en haut et descendent, c’est très bien, on les suit, mais si elles ne viennent pas, on peut agir individuellement. C’est le message de faire passer aujourd’hui.
Alexis Allez, chers agilistes ! Yes, merci Claude, Laurent ?
Laurent Rien de beaucoup plus effectivement. Passons en réaction. Moi je crois quand même au fait que l’entreprise puisse bouger. On l’a vu, on a réussi à faire bouger l’entreprise, à faire bouger les mentalités. Donc je pense qu’il faut garder confiance dans le fait qu’on va avoir un impact et que si tout ça s’aligne, on sera plus fort pour essayer de trouver des réponses.
Alexis Et sur cette note d’espoir, merci beaucoup, salut !
Claude Salut !
Sara Merci !